« Quand je regarde les photos que je fais, je m’aperçois qu’elles relèvent de la catégorie de la prédation. Mon expérience m’a montré qu’il y a deux sortes de photographes : ceux qui prennent et ceux qui donnent. Ce sont deux courants inverses : il y a un courant centrifuge et un courant centripète. »
Michel Tournier / Lors d’un colloque organisé à la Sorbonne sur le thème de la photographie / Les Cahiers de la photographie – (1983) n° 8, p. 84-90