« Quand Mozart est gai, il ne cesse jamais d’être noble… Il ne songe point comme Rossini à prendre du plaisir ; il n’est pas transporté comme Beethoven par un sentiment sublime, par le violent contraste du ciel subitement ouvert au milieu d’un désespoir continu. Il songe à rendre heureuse la personne qu’il aime… et il me semble que si j’étais femme, je ne pourrais m’empêcher de l’aimer. »
Vie et opinions de M. Frederic-Thomas Graindorge / Hippolyte Taine
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